Karma Koma, Coup de cœur des Sup de Mod Marketing Bachelor 1ere année
Remontons en 2003, c’est à la suite d’un voyage à Bali que la créatrice Corse Laurence
Appietto Raffaelli
eu l’idée de créer ses propres vêtements.
Une première pièce vu alors le jour, un pantalon Thai revisité qu’elle vendra par la suite dans sa petite boutique multi-marques à Porto-Vecchio .Cette pièce devenu iconique, Karma Koma est créée.
Karma Koma est une marque à l’image de sa créatrice, animée par le voyage entre deux terres, la Corse et Bali qui représentent une source d’inspiration.
La Corse : pour son esprit authentique que l’on retrouve dans les lignes sobres et épurées, et
Bali pour sa chaleur et ses couleurs riches et épicées.
Aujourd’hui leur fils conducteur est le dos nu que l’on peut retrouver dans toutes leurs collections.
Depuis leurs locaux en Balagne, Karma Koma voyage entre le retail et le wholesale.

Une marque Corse dans 159 points de ventes

Karma Koma est une marque qui a créée sa première boutique en Corse, basée sur Porto-Vecchio. Avec ce succès commercial, la marque s’implante en dehors de la Corse. Elle s’associe avec des agents commerciaux et créee ses propres boutiques. Karma Koma est présente dans près de 159 boutiques et points de ventes ( En France, en Belgique, en Italie, les îles telles que Palma, La Réunion, Guadeloupe et Martinique).

Un style balinai et corse empreint de voyage et de féminité

Karma Koma crée un vestiaire composé de pièces intemporelles et qui s’adaptent à tout les styles de femmes. Karma Koma apporte une allure fluide, élégante, féminine et sensuelles déclinés dans des matières naturelles, légères et confortables.

Mettre en avant son savoir faire

La plupart de la collection est faite avec Taro, un tailleur balinais avec qui la directrice à eu un coup de foudre tant amical que professionnel. Taro et ses ateliers se sont développé au rythme de Karma Koma. Les finitions de Karma Koma sont réalisées à la main dans les ateliers de Taro. Une signature unique apporter à des pièces iconiques.

Travail réalisé par Jilinn Marzin, Anaïs Clech et Maëlwenn Le Neuresse, étudiantes en Master 2eme année à Sup de Mod